montfortain

Dérivé de Montfort, avec le suffixe -ain. Pour le sens religieux, en référence à Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716), né à Montfort-sur-Meu, canonisé par Pie XII en 1947, qui consacra sa vie à l'œuvre de mission dans différentes villes de France et qui fonda différentes communautés religieuses.

montfortain \mɔ̃.fɔʁ.tɛ̃\

1. Relatif à Montfort, commune des Alpes-de-Haute-Provence.
2. Relatif à l'ordre religieux fondé par Louis-Marie Grignion de Montfort.
   • Autrefois, l'ordre désignait plus spécifiquement les mouvements dont les membres prononçaient des vœux de manière solennelle (bénédictins, franciscains, jésuites), à la différence de ceux des congrégations, de création plus récente, qui ne prononçaient que des vœux simples (rédemptoristes, montfortains, assomptionnistes). — (Nicolas Seneze, Un engagement aux multiples formes - Journal La Croix, page 6-7, 1ér février 2015)

montfortain \mɔ̃.fɔʁ.tɛ̃\ masculin

1. (Religion) Membre clerc d’une congrégation religieuse fondée par Grignion de Montfort.
   • Le rayon de soleil formait comme un éventail, et l’aînée dit au Père Soulard, curé de Chézelles, un montfortain : « Le rayon de soleil est la réponse de la Ste Vierge , elle vient de nous l’annoncer avant de disparaître. — (Élisabeth Baranger, ‎Bernard Peyrous, Les apparitions de l’île-Bouchard: documents authentiques, 2002)

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